Géhenne, terres contestées. Forum du grandeur nature ''Géhenne, terres contestées.'' |
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Taj Badalamdabad Joueur
Messages : 9 Date d'inscription : 26/07/2009 Localisation : Yah, je me situe sur le route, principalement, et chez brigite.
| Sujet: Pour les Artiste Mer 28 Oct - 18:56 | |
| Hey tout le monde, j'ouvre ce message pour demander a tout ceux qui, qui aurons ou même qui on écrit des textes quelquonques de venir les poster ici. Et ceci, car cela peut-être vraiment fascinant de voir les oeuvres des autres. Pour ma part voilà quelques unes de mes ouvrages. [ L'histoire de l'un de mes personnage basé sur l'univers du manga: One Piece et Reborn ]- Spoiler:
Depuis le tout début, je fus conçut que pour que mon père ai un héritier et ce car il ne voulait pas qu’un sang autre que le sien montre sur le “trône Varia”. Edward Varia, un homme de quarante ans primé a plus de 300 000 millions de Berry, - mon père - n’aimait donc aucunement ma mère, même si elle l’aimait désespérément. Elle était tomber amoureux de celui-ci des années au paravent, alors que ceux-ci étaient encore que des enfants. Mon père la choisis pour me porter que parce que c’était la plus belle qu’il avait a sa disposition. Oui! Elle était magnifique, une poitrine bien bombé en l’occurrence et un corps a faire rêvé les dieux. Ne soyez donc pas surpris que durant toute mon enfance je ne vis pas souvent ma mère. Après tout, peut-être que je ne serais pas un bon boss présentement si il aurait été le cas contraire... Bref, je fus totalement prévue, pas comme ses bâtards qui n’étaient pas prévue.
Ainsi donc, je grandi dans le magnifique et sécuritaire manoir de la famille dont mon père était a cette époque le chef. Malheureusement, jusque à plus tard dans ma vie, je n’eu aucun ami je me consacra donc a tout connaître sur les Varia’s. Étrangement, j’essayais, aussi, souvent, en garçon turbulent, de me mettre dans les jambes de mon père, ce qu’il n’appréciais guère. En l’occurrence, je voulais toujours qu’il m’apporte avec lui dans “ses voyages d’affaires”. Ainsi, lorsque mon père était parti je faisais souvent des mauvais coup et lorsque l’on me demandais pourquoi je faisais cela, je répondais toujours: C’est pour foutre la merde et j’aime voir les adultes essayé de réparer cela. Et pour ce qui est de ma mère, qui m’aimait énormément, elle fut rapidement mit de coter par mon père. N’étant pas encore asser vieux pour comprendre la complexité des maths et la subtilité des langues, je ne m’appliqua qua un domaine “académique” - c’est ainsi que je le qualifiais - le kendo. J’étais déjà très bon, meilleur que les disciples plus âgé.
Plus tard, lorsque je fus environ âgé de 7 ans, je commençai a rencontrer d’autre enfant. Mon père souhaitait que je me fasse des amis pour le future, lorsque je serais le chef. Cependant, aucun de ces gosses ne m’inspiraient quoi que ce fut, il était tous banal et je m’amusais à les torturer. Mais enfin, arriva un jour où je rencontrai celui que je recherchais, il était plus jeune, il avait environ 4 ans, par contre, déjà, je voyais en lui une personnalité totalement différente des autres et ces ce qui m’attirai chez lui. Je me mis a passer mes journées avec lui et bien vite, il devint mon “second” au yeux de mon père, au miens c’était seulement mon meilleur ami. Il se nommait Belphegor, c’était un jeune garçon très spécial, il cherchait toujours a être supérieur a tout le monde - sauf a moi -, même aux adultes. J’adorais sa. Ensemble nous déambulions dans le manoir et dans le jardin intérieur. Nous faisions tout pour que la vie de ceux qui étaient chargé de nous surveiller sois un enfer. Belphegor étant encore trop jeune pour pratiquer un art de combat, je mis donc un peu de coter mon entraînement au kendo pour m’amuser avec lui à faire chier les plus vieux....
Les années passèrent sans que nous changions de comportement et notre relation évolua dans le bon sens. J’avais maintenant dix ans et Belphegor en avait sept. Malheureusement, sous les exigences de mon père, il dut commencer l’entraînement au combat. La philosophie des Varia’s prônant l’originalité dans le combat, il dut s’inventer une méthode de combat. Il ne s’en plaignit pas car de toute façon le kendo ne lui convenait pas. Ainsi, alors qu’il créait son style de combat, moi je parfaisais mon style de kendo. L’originalité étant de mise je créai mon propre style de maniement du sabre: Aggressivo Da Squalo. C’était surtout une méthode de combat agressive dont la devise était l’attaque est la meilleur défense. Je m’aperçu rapidement que j’étais très douer lorsque, très facilement, je battu mon maître. Dès lors, je me concédera comme invincible. Je me battais souvent et je fini même par tuer un autre enfant a force de le ruer de coup de boken. J’étais un vrai enrager. Mon père, lui, trouvait cela amusant et ne faisait rien pour m’en empêcher, d’ailler il faisait tout pour que je recommence. Bien vite, Belphegor me rejoignit et c’est là que le véritable cauchemar commença. Nous battions des jeunes, en tuions en torturait. Encore une fois, mon père approuvait. Bien que notre comportement ne passait pas innapercu et que cela causa plusieurs problème au sein de la famille, mon père s’arrangeais toujours pour étouffer les problèmes avant qu’ils ne soit trop gros.
Bien entendu, les années passèrent, encore une fois, et je vieillis. Tout ce continua comme avant jusque l’age de 15 ans. Ce fut étrange, mon père, que je n’aimais pas et du qu’elle je profitais, m’offre un sabre de haute facture. L’un des 21 grands sabres: le Shigure No Fouen. Un sabre exceptionnel a la fusée verte et au fourreau vert, une lame très dure et coupante la constituait. Je dois l’avouer, ce jour là mon père me surpris. J’ai immédiatement penser qu’il était fier de moi, cependant je m’en foutais royalement. Moi tout ce que je voulais c’était la richesse. Je me contenta donc d’accepter le cadeau sans le remercier ni même le regarder dans les yeux... Cette nuit là, moi et Belphegor avions pour la première fois tuer un civil. Cela avait été si amusant, le pourchasser partout dans la ville, puis par la suite le tuer d’un coup sec. Mais après tout, ce fut Belphegor qui eut le plus de plaisir à faire cela. Je le regardais en riant en train de tuer sa cible. Le lendemain, notre meurtre passa a la télévision, nous regardions la jolie présentatrice décrire la scène, nous en risions a n’en plus finir.
Ainsi, une année passa et durant ce temps je fis plusieurs meurtres avec mon fidèle acolyte, Belphegor. C’est alors, que mon père m’expliqua la fonctionnement de la famille. Le système de mission, le système de grade, etc... Par la suite, il me fit savoir que si je voulais obtenir la place de chef, je devais démontrer à la famille que j’étais apte a jouer ce rôle en commencent par effectuer des missions. Ensuite, il précisa que je devais choisir ceux qui allait jouer un rôle important dans la famille et que ceux-ci devait être approuver par les hauts membres de la familles, a savoir le conseil. Puis, il me présenta une fiche de ceux qu’il avait pré-choisit pour moi, bien sur j’avais amplement le choix, ceci n’était là que pour me guider et je le comprenais. Quoi qu’il en soit, même si je trouvais logique ses exigences, cela me choqua... Et cela ce lut sur mon visage, des yeux terrifiant exprimant la colère... Oui! Mais bon, si je voulais belle et bien obtenir le grade de chef de la famille je devais me plier a ces quelques requêtes et j’étais presser d’accomplir ce qu’il souhaitait. Ce faisant, je lui demanda sans aucune politesse de m’envoyer sur le terrain, il accepta. Edward Varia me donna un objectif: Tuer Nathaniel Bigstream, chef d’une petite famille adverses cherchant a concurrencer avec nous, les grands Varia’s. Ah Ah! J’en fus tout excité.
Évidemment, je rejoignis immédiatement mon fidèle ami, Belphegor, pour l’en informer. Il fut pris d’une excitation semblable a la mienne. Il ne cessait de répéter que ça allait être “cool”. Moi, de mon coté, j’avais hate de tuer cet homme et ma face d’enrager traduisait ce sentiment. Ainsi donc, nous nous mîmes préparer notre plan. Nous avions en tête de les attaquer vers sept heures, celle du souper, et de tous les tuer - Et oui, bien que les ordres étaient de tuer le chef, nous allions tuer toute sa familles -. Ensuite, nous ne voulions pas les prendre par surprise car nous voulions un certain challenge. Pour ce faire, nous allions tout simplement leur envoyer une lettre la journée d’avant notre assaut, précisant bien l’heure ou nous allions venir, pourquoi et comment. Cependant, même si nous étions très fort, nous devions prévoir plusieurs détails et certainement être prêt a toute éventualité. Et c’est a ce moment que Belphegor me démontra son incroyable efficacité en allant enquêté sur notre cible. Il revint avec les capacités des plus puissant membre ainsi qu’avec un plan précis de leur base. AH! Cela allait être facile et amusant!
Ainsi, nous partîmes un jeudi soir vers 6h30 pour nous rendre chez les Bigstream’s. Bien entendu, il n’avait pas pris notre lettre au sérieux, c’est pourquoi personne ne nous attendait et cela nous déçu. Quoi qu’il en soit, ce n’était pas très grave, puisque dans quelque instant, nous allions tousse les tuer. Nous cognâmes donc a la porte 3 fois, puis elle s’ouvrit et ce fut un homme d’environ 35 ans qui vint répondre. C’était un minable petit sous-fifre, je le tuai d’un coup de sabre qui lui coupa la tête en deux. Son corps s’effondra un sol dans un vacarme assourdissant, puisqu’il accrocha un petit vase. Belphegor se mit a rire a coter de moi et une voix aigu et apeuré retentit aussitôt.
Voix: “ QUOI!!! Est-ce que c’est vraiment eux. “
Une autre voix rétorqua a la premiere, celle-ci n’était pas du tout appeuré et elle trahissait une certaine excitation.
Deuxieme voix : “ Imbécile va voir moi je mange présentement.”
Voix: “ Mais.”
Deuxieme voix : “ Il n’y a pas de mais”
Voix: “ D’accord “
C’est alors qu’un petit bonhomme apparut dans le corridor d’accueil avec un air terrifier. Il transpirait de tout son corps, ses yeux étaient petit et rond. Ses yeux tombèrent sur les miens, il détourna immédiatement le regard et reparti vers d’où il venait en criant.
Petit bonhomme: “ AH! Il est là, Squallo, le fils de Edward Varia. Vite alerté le boss”
L’on pu entendre quelque chose partir dans les airs, puis de la vitre casser et ensuite le petit bonhomme se mettant a pleurnicher. Presque aussitôt la même voix que tout a l’heure retentit dans le corridor en même temps qu’une masse impréssionnante de chair humaine apparaissait dans le corridor.
Deuxieme voix: “PFFFF, Je vais m’en occuper moi même!”
Il avait une grosse masse dans la main gauche et une énorme cuisse de poulet dans l’autre. Le gras lui pendait a la bouche et du poil brun souiller par de la peau de poulet sortait d’un buste salit a l’extrême. C’était Marcus le troll. Je lui souris et Belphegor, comme d’habitude, partit a rire. Je partis a courir dans sa dirrection et d’un geste vif je dégainai mon sabre. Je sautai dans les airs et coupa sa massue en deux, ensuite je lui assena un coup vertical sur la tête ce qui lui coupa le corps en deux.
Squallo: “ AHAHAHAH!! Si pathétique.
Le premier “gros adversaire” étant vaincu, j’alla achever le petit bonhomme de tout a l’heure. Le sang gicla par tout dans la pièce. Puis, je poursuivi mon chemin, toujours suivis par Belphegor, je lui ordonna d’aller tuer un autre des “gros adversaire”. De mon coté, je continua vers le sabreur de la famille des bigstream’s. Je le vaincu en quelque instant....Bientôt, moi et belphegor nous retrouvâmes devant la porte du boss. Je la défonça d’un coup de pied. Il était en train de rédiger une lettre. Il se retourna vers moi d’un air apeurer et je sortit mon sabre d’un air mécontent mais calme. Ensuite, je lui adressa la parole.A cette instant, des goutelletes de sueur se mirent a couler de son front, il fit signe que oui.
Boss Bigstream: “ SQUALLO DA SHARK QUE TU SOIT MAUDIT PAR TOUT LES DIEUX !!!!“
Je le tua d’un coup sec et c‘est de là que provient mon surnom. Je mis sa tête dans un sac, puis nous repartîmes vers notre maison. Il n’était que 10h00. Nous avions fait sa si vite. Belphegor s’était bien amuser, pareil pour moi.
Une fois rendu a la maison j’alla montrer la tête du boss Bigstream a mon idiot de père. Très content, il me dit qu’il était évident que j’étais digne de monter sur le trône varia et il me donna un nouveau cadeau. Le portrait d’une magnifique femme, celui de ma mère, je m’en foutais, mais j’accepta quand même le présent et je le jeta dans ma chambre sans me soucier de l’endroit où atterrirais. Par la suite, je rejoignis mon fidèle acolyte et il me relata ses combats. Il les avait tous terrassé facilement, comme moi. Je trouvais cela drôle, tout comme lui. Puis, a mon tour, je lui rencontra mes combats...
Encore une fois, les années passèrent, nous fîmes plusieurs missions de ce genre jusqu’au jour ou mon père attrapa une étrange maladie. M’oui bon, c’était surtout moi qui avais eu marre et qui l’avait empoisonner a l’arsenic avec Bel. Il en mourut dix jours plus tard. Aussitôt, je monta sur le trône varia et je m’affirma en tant que chef. La liste que m’avais donner mon père n’avait finalement pas été utile puisque, je n’avais pas eu a choisir tout mes camarades. Je n’en fut que très joyeux. Je pris connaissance de tout ce qui concernait ma famille et je devins un véritable parrain, je gérais les espions, les guerres avec d’autre famille et surtout je tuais pour le plaisir avec Bel. Étrangement, je n’avais jusqu’alors pas conscience que je vivais sur une île et que celle-ci s’appelait: Mafiosio Land, et qu‘elle était sous la domination du royaume, Mioac. Mais bon, je crois que cela ce justifie car je vivais dans le plein centre du royaume, dans la capital et que la dite île était si grosse que l’on aurait dit un continent. Quoi qu’il soit en apprenant que je vivais sur une île, j’appris aussi que je possédais une flotte de trois navire et qu’elle était diriger par un capitaine très connus. Ensuite, je sus que nous vivions sur une mer appeler Grand line et qu’elle était sillonner de pirate a la recherche du One pièce. Un trésor si énorme que je ne pouvais que désirer de le possédais. Je fus aussitôt tenter d’aller le chercher, tout comme tout les trésors du monde. Cependant, d’autre chose importait.
Avide de richesse, j’envoya Bel a la recherche d’un trésor faisant parti d’une collections d’arme incroyable. Évidemment, cela veux dire que le trésor en question était une arme. C’était un sabre faisant partit des 12 grandes lames du monde. Selon mes sources, il était en possessions d’un sabreur hors pair qui vivait dans un petit village sur une île de grand line. Je l’avais donc envoyer en mission afin qu’il me rapporte ce sabre en question. Cependant, il arriva un petit pépin. Les citoyens de ce village était unis ainsi, ils se mirent tout contre lui, bien entendu, Bel les tua tous. Cependant, un colonel de la marine arriva sur les lieux et l’arrêta. Il fut par la suite transporter dans une prison a haute sécurité... A cette époque, j’avais 25 ans moins un mois. Aujourd’hui j’ai 25 ans, et je m’apprête a attaquer la prison a l’aide de ma flotte et de son capitaine pour récupéré mon second ainsi que ses informations sur ce que je recherche. Par la suite, je vais surement poster quelques poème. En attendant, a vous de poster vos oeuvres, ouvrages et ce que vous voudrez. | |
| | | M'elzar ou "Personne" Joueur
Messages : 229 Date d'inscription : 17/06/2009 Age : 29 Localisation : Entrain de dériger la guilde de sang pur et d'augmenter sa puissance
| Sujet: Re: Pour les Artiste Mer 28 Oct - 19:06 | |
| Pratique les spoils. Je vias poster mon bg de M'elzar ici | |
| | | Matteo Joueur
Messages : 90 Date d'inscription : 01/11/2008 Age : 32 Localisation : Loin, cest pour ça que t'as une fléche dans le dos
| Sujet: Re: Pour les Artiste Mer 28 Oct - 20:51 | |
| Moi aussi j'écris des poèmes de temps à autres, bien que je ne respecte pas les règles classiques, parce compter les pieds et faire des belles phrases, parfois c'est difficile de faire les deux à la fois. Mais voici quand même ma création le plus récente : - Spoiler:
Au plus profond de la nuit Seul et perdu dans la cité Endurant milles tourments innomés Sans un mot, sans une larme, sans bruit
J'ai envie de crier et de hurler Tout ce que je garde en moi Tout ce que je ne dis pas Mais cela risquerais de tout briser.
Je suis dans un moment un peu plus sombre en ce moment alors mes textes risquent d'être dans ce genre là pour un petit bout de temps. | |
| | | Kirithlin Demurian Joueur
Messages : 85 Date d'inscription : 14/05/2009 Age : 33
| Sujet: Re: Pour les Artiste Dim 1 Nov - 2:08 | |
| Perdu dans le brouillard, je cherchais une reponse au conflit de lunivers, perdu au coeur de mon ame, jetais perchee dans le desert.
Longtemp ai-je voyagee sans jamais trouvee ma voies, pourtant jai combattu avec tant de hardiesse, jusqua men rompre les doigts, et jusqua la plus grande devotion envers une deesse.
Les gens disent de moi que je suis un etre sombre, quelquun de miserable, mais cruel et pourvues daucun coeur, lon peut donc dire quils se sont fait prendre dans mon leurre, celui que je reserve au gens sans ame.
je continu donc a fouler mon chemin, je ne me tournerai pas de mon destin, je cours pour mes objectifs...
Jocelyn.- | |
| | | Matteo Joueur
Messages : 90 Date d'inscription : 01/11/2008 Age : 32 Localisation : Loin, cest pour ça que t'as une fléche dans le dos
| Sujet: Re: Pour les Artiste Dim 1 Nov - 22:44 | |
| En voilà un autre - Spoiler:
Un hurlement résonne Et les cloches de la cathédrales sonnent Un éclair déchire la nuit Et une ombre se faufile sans bruit
Un paroissiens agenouillé Est en train de prier Jamais ne la vit arriver Et de sang les murs furent éclaboussés
| |
| | | Néthéril de Minagarde Joueur
Messages : 45 Date d'inscription : 09/06/2009 Age : 59 Localisation : Sur la route de la divine Illumination ...
| Sujet: Re: Pour les Artiste Lun 2 Nov - 1:39 | |
| Moi c'est un texte que j'ai écrit récemment. Rien a connotation violente, ni médiévale. Juste l'expression de sentiments a travers une belle et grande métaphore ... - Spoiler:
L'homme marche lentement sur le quai. Il voit au loin, un nouveau bateau est amarré. L'embarcation est magnifique. D'une beauté digne des plus grands rois et aussi raffiné que le plus beau des bijoux. Le marin se laisse séduire. Son amour pour les navires le transportant malgré lui. Dans ses rêves les plus fou, il vogue sur les mers, ses cheveux caresser par le vent salin. Il se voit, sur le pont d'un magnifique petit navire de pêche, entretenant chacun des recoins du dit bateau, inspectant le câblage et frottant le plancher a deux mains. Il prodiguait a son bateau les meilleur soins dont il fut capable. Son bateau était le plus beau de tout le port. Ni le plus gros, ni le plus décoré, mais le plus beau quand même. Le bateau a quelques petits défauts par-ci, par la. Mais il est le plus beau quand même. Et, souriant a cette idée, le marin préfèrerait le bateau a tous les autres même s'il prenait l'eau, car il serait son seul et unique bateau. C'était ce dont il rêvait le plus au monde.
Mais depuis si longtemps on lui refusait de monter abord des navires passant au port. Il n'avait jamais mis les pieds sur un pont, ni gouter aux plaisirs de la mer. La sensation de liberté, de bonheur. Cette sensation vous donnant l'impression qu'une partie de ce monde vous était bel et bien réservé. Il avait pu écouté, non, admirer les hommes ayant fait l'expérience de la mer et la vie de marin en haute mer parler de leur amour pour celle-ci. Aussi douce pouvait-elle être, qu'aussi tôt elle devenait sombre de colère et déferlait sur vous. Mais aucun des marins ne venait se plaindre des sautes d'humeur de leur "maîtresse". Il en parlait surtout comme d'une crainte. Il fallait craindre cette rage, mais pas la détesté. La mer ne vous punissait pas sans raison, et comme le cœur d'une femme, elle était sensible et fragile. Pour l'homme, les racontars des marins étaient le rêve dont il espérait voir le commencement avant sa mort. Un beau navire et une vie de marin paisible dans un coin de pays sans guerre ni problèmes a prendre soin de son bateau.
Tout en continuant sa marche sur le quai, l'homme s'approche du nouveau navire. Il ne l'avait jamais vu amarré ici, et ne pouvait se rappeler de l'avoir vu autre part. Mais le bateau est d'une beauté si exquise, que l'homme ne pouvait détourner le regard très longtemps. Il contemplait le navire. Presque émerveillé. Il en examinait chaque parcelle. Vénus. C'était le nom du navire. Écrit dans des lettres moulé d'or et de bois délicatement travaillé. La figure de proue prenait place avec grâce. Le visage qui était sculpté représentait décidément une femme d'un jeune âge, mais donc la beauté allait éclipsé le reste du navire. L'homme restait en contemplation devant ce chef-d'œuvre de navire, comme hypnotisé.
Quelques semaines passèrent, jamais personne ne descendait du navire. Personne sur le port ne semblait y porter une attention quelconque. C'était comme si le navire était la, seul. Sans propriétaire ? Un propriétaire absent ? Il était douteux a ce sujet. Mais conscient qu'il avait peut-être la une chance de s'embarquer pour la vie qu'il espérait depuis ci longtemps, il décida de s'approcher.
Arrivé près du navire, l'homme se sentait nerveux. Il était de plus en plus hésitant. Et si quelqu'un venait, le voyait. Peut-être quelqu'un vivait-il à l'intérieur ? Tout cela le rebutait et lui faisait ralentir le pas. Mais des visions de lui et son navire menant la vie qu'il voulait, dont il rêvait et priait même les dieux, lui donnait la force de continuer. Et si jamais ce navire avait-il accoster pour l'embarquer ? C'était d'une folie impossible mais l'homme se contentait de telles idées. Pourquoi pas se disait-il. Il serait si heureux. Il se convint finalement. Il marcha d'un pas sur vers le navire. Vénus se tenait avec autant de grâce et de beauté que depuis les dernières semaines et même plus. Rien qui ne lui déplaise, bien au contraire. Il arriva finalement près de la rampe. Il mis un pied sur la rampe et sentit une main se poser sur son épaule. Un homme se tenait derrière lui, l'air heureux mais le visage rempli de questionnement. Il fit signe a l'homme qu'il devait descendre. L'air détruit, voyant son rêve lui échappé encore une fois, l'homme tourna les talons et marcha jusqu'à la taverne. C'est de là, choppe a la main, qu'il regardât partir vers l'horizon, le plus magnifique des navires qu'il eut la chance de voir de toute sa vie.
Peiné, démoralisé devant une nouvelle chance gâchée, l'homme sortit et retourna vers sa demeure. Il se savait bien chez lui, mais il voyait toujours mieux dans ses rêves. Il possédait des chevaux, mais il voyait mieux dans ses rêves. La terre ferme, seul chez lui, le rendait malade et triste. Il se sentait, laissé derrière. Comme ignoré. Il marcha quelque peu, et arrivant devant sa porte, il tourna son regard vers le couché de soleil. Il se dit, souriant avec le peu d'enthousiasme qu'il pouvait éprouvé, que ce bateau reviendrait bien un jour et que ce jour serait celui si attendu. Et s'il ne revenait jamais, la mer en était pleine, et un navire viendrait un jour au port près de chez lui, et il sera le navire parfait, le plus beau, mais aussi le plus gros et le mieux décoré. Il serait le plus magnifique des navires, mais cette fois, il aurait un plus : ce serait le sien.
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